Veuillez nous excuser pour la faute dans le titre de la page 366.
dimanche 19 mai 2013
samedi 18 mai 2013
NOUVEAU MAGAZINE B2 #8 / SUMMER
LE NOUVEAU MAGAZINE B2 #8 / SUMMER 2013 est enfin dispo.
400 pages de MODE ART CULTURE MUSIQUE CINÉMA DÉCORATION VOYAGE CUISINE...
AVEC DES INTERVIEWS ET REPORTAGES EXCLUSIFS...
LIKE, SHARE...
MERCI, en espérant que vous adorerez ce nouveau numéro que nous avons fait (LA TEAM B2) avec tous notre cœur.
DOUX ÉTÉ
xx
OLIVIER
merci de liker et partager aussi notre page facebook :
https://www.facebook.com/pages/Magazine-B%C2%B2-Mode-Art-Culture-sur-Bordeaux-Biarritz/103799282998059
https://www.facebook.com/pages/Magazine-B%C2%B2-Mode-Art-Culture-sur-Bordeaux-Biarritz/103799282998059
mardi 14 mai 2013
MODE//LITTLE BACON : Petit Cochon deviendra grand
Les vêtements peuvent être de véritables madeleines de Proust. Certaines
pièces nous marquent et sont comme les témoins d’époques révolues et chéries. Laquelle
d’entre nous ne se souvient pas de cette petite robe dont elle était si fière
et qu’elle ne voulait plus quitter, même pour aller jouer dans l’herbe ?
Ou plus tard, de ce short en jean déchiré qui aura fait tout l’été et dont en
témoigneront les poches pleines de sable?
C’est exactement ce genre de souvenirs qu’évoquent les vêtements de la
nouvelle collection Little Bacon, la marque fraîchement crée par la jeune Stéfany
Lardeau.
Partie de presque rien, Stéfany est aujourd’hui une auto-entrepreneuse
accomplie. Avec peu de moyens mais beaucoup d’enthousiasme et surtout des idées
plein la tête, elle crée Little Bacon en 2010. C’est en vendant ses créations
sur les marchés du Cap Ferret qu’elle obtient ses premières clientes et avec
elle, ses premiers succès. Plus tard, elle se lance et ouvre sa boutique, le
Bacon Shop, dans la magique rue Fondaudège, véritable caverne d’Ali Baba au
cœur du vieux Bordeaux.
Plus qu’une marque, Little Bacon est une invitation au voyage. Dans
l’atmosphère douce et chaleureuse de sa boutique, c’est un véritable florilège
de couleurs, de formes et de matières d’ailleurs qui nous accueillent, comme
pour nous faire oublier un instant la grisaille bordelaise. Des petites vestes
en lin, des tee-shirts aux couleurs ocres, des jupes à motifs géométriques… les
pièces Little Bacon sentent bon les randonnées dans les Andes et les plages du
Mexique.
Son inspiration, Stéfany la trouve dans ses voyages, surtout celui au Pérou
dont elle est revenue très marquée. On comprend alors mieux les influences
ethniques dont regorgent ses silhouettes. Grâce à un choix de matières et de
couleurs bien à elle, la jeune créatrice a su retranscrire toute la culture et
la spiritualité des pays qu’elle a visités dans son travail. La nature en général semble être une source
d’inspiration inépuisable pour elle, une nature dont elle se veut avant tout
protectrice puisqu’elle a su allier chic et écologie dans toutes ses pièces.
Dans la nouvelle collection printemps/été 2013 en série limitée, baptisée « Summerstone »,
c’est sur un jaune canari insolent et malicieux qu’a misé Stéfany, ensoleillant
de cette couleur audacieuse des matières plus sage comme le lin et le coton. Les
vêtements, aux lignes épurées et un brin sportswear, semblent confortables,
dessinés pour une femme active et naturelle. Une femme qui n’a pas peur de
bouger et d’être elle-même, à l’image de la styliste.
C’est d’ailleurs ce caractère actif qui pousse Stéfany à aller toujours
plus loin. Little Bacon dépassera bientôt les frontières de Bordeaux pour être
commercialisée dans d’autres villes (à Marseille notamment) et une boutique en
ligne dédiée à la marque sera lancée dans la foulée. Little Bacon semble
donc bien partie pour devenir la révélation mode à venir. De quoi convaincre bien
des modeuses, végétariennes incluses !
Article écrit par Laura Paulino
Rendez vous sur le site de MyMajorCompany pour aider la marque à organiser son premier défilé pour la collection Summerstone : http://www.mymajorcompany.com/projects/defile-de-mode
mercredi 1 mai 2013
INTERVIEW // Inside la DIRTY SOUTH FAMILY
Ils sont jeunes, ils sont talentueux et depuis plusieurs mois, ils font bouger le Sud Ouest au rythme de soirées déchainées...Le magazine B² vous présente la DIRTY SOUTH FAMILY ou DSF pour les intimes. Si le collectif ne vous est pas encore familier, je doute que vous n'ayez jamais entendu parler de ses membres, des DJ dont la renommée n'est plus à faire. Vous les avez sans aucun doute croisé aux platines des bars et soirées de la région qu'ils écument inlassablement.
Rencontre avec un groupe de potes qui n'a pas fini de vous faire danser!
Présentez vous et le concept de
la Dirty South Family?
D'abord il n'y a aucun concept derrière la
Dirty South Family. La D.S.F. c'est avant tout une bande de potes DJ, musiciens,
graphistes, photographes et vidéastes qui ont décidés de se monter en collectif
afin de mettre en commun leurs expériences pour organiser des événements afin
de partager leurs passions tout en prenant du bon temps entre amis. Le partage,
telle est la motivation première du groupe.
Nous avons commencé par organiser quelques
soirées où nous partagions les platines lors des Casetas de Biarritz ou des
Fêtes de Bayonne par exemple. Apres la réussite de ces évènements et les bons
retours que nous avions du public quant à l'ambiance et la bonne humeur qui se
dégageaient lors de ces soirées, nous avons décidé de structurer un peu plus
la chose et d'organiser d'autres évènements en commun fort de l'expérience et
du réseau de chacun des membres.
La première vraie DSF party a eu lieu pendant
les fêtes de fin d'année 2012. C'est une période où tous nos amis, expatriés aux
4 coins de France et de l'Europe, reviennent dans la région. Comme la plupart
n'ont pas l'occasion de nous écouter pendant l'année nous avons voulu organiser
une soirée au cours de laquelle ils pourraient en profiter pour se retrouver et
partager un bon moment tout en dansant aux sons des DJ qu'ils ne pouvaient pas
voir au cours de l'année.
Apres le succès de cette soirée, le
Kalostrape à Bayonne, où elle a eu lieu, nous a proposer de renouveler
l'expérience. C'est alors que nous avons décidé de mettre en place un rendez
vous mensuel. Puis l'Atabal, la salle de concert de Biarritz, nous a fait
confiance et nous a proposé d'organiser une DSF party chez eux début
février... qui fut une belle réussite.
Quelles sont les différences et
spécificités de chacun des membres du collectif?
Nous sommes une bonne douzaine au sein du
collectif, venant tous d'univers assez divers, c'est vous dire si les
différences et les spécificités sont nombreuses mais nous avons tous en commun
cet amour de la musique et de tout ce qui tourne plus ou moins autour.
A la base nous étions juste quelques DJ et
musiciens issus de scènes diverses (hiphop, electro, drum n'bass, funk,...) puis
nous avons décidé tout naturellement d'intégrer des graphistes, photographes et
vidéastes au projet car nous connaissons l'importance de l'image et voulions
proposer un plus lors de nos soirées (création des flyers, report photos et
vidéo,... ).
Vous étiez tous DJ seuls avant de
monter la DSF. Pourquoi avoir choisi de vous réunir?
Nous n'avons pas vraiment choisi de nous
réunir, cela c'est fait un peu tout seul. Dans un premier temps nous avons
constaté que nous jouions tous plus ou moins souvent dans les mêmes endroits
et nous nous sommes dits pourquoi ne pas partager les bons plans et s'inviter à
jouer les uns les autres...
Puis au fur et à mesure des collaborations et
des échanges l'idée du collectif est venue tout naturellement.
Vous êtes tous originaires et
basés dans le Sud Ouest?
Oui nous sommes tous basés dans le Sud Ouest
et plus particulièrement au Pays Basque mais nous venons pour la plupart de
différents coins de France (Nantes, Paris, Bourges, Pau, …).
Nous sommes tous tombés amoureux de cette
belle région dans laquelle il fait bon vivre et s'épanouir.
Vous avez déjà enflammé quelques
soirées sur la côte basque face à un public souvent jugé exigeant. Comment ça
s'est passé pour vous?
Ben pour le moment nous n'avons
pas à nous plaindre, nos soirées ont étaient une réussite à chaque fois. Le
public a répondu présent et les nombreux retours positifs que nous avons nous
confortent dans notre démarche.
Nous essayons tant bien que mal
de nous renouveler et d'apporter
quelque chose de diffèrent quand nous le pouvons comme lors de la soirée
« Paye ta Perruque » à l'occasion du carnaval ou encore la venue de
la djette parisienne Soul K pour la prochaine DSF party qui aura lieu le 4 mai
au Kalostrape et qui marquera la fin des mensuelles au sein de ce lieu pour
cette année avant la soirée du 7 juin à l'Atabal qui viendra clôturer la
saison.
Y a t il un endroit, une scène ou
un festival auquel vous rêveriez d’être programmés?
Oh oui il y en a plein bien sur, nombreuses
sont les scènes sur lesquelles nous aimerions nous produire. Mais nous essayons
de ne pas nous enflammer et de structurer le collectif afin de poser des bases
solides car nous savons que l'engouement que nous connaissons peut redescendre
aussi vite qu'il est apparu.
Nous commençons à prospecter et nous sommes
bien sur ouverts à toutes propositions...
Quelle serait votre collaboration
idéale ?
Nous n'avons pas de collaboration idéale,
nous marchons surtout à l'affect.
L'année prochaine le but est d'inviter des
artistes que nous aimons et que nous avons envie de faire découvrir à notre
public.
Quand vous n'êtes pas derrière les
platines, quels sont vos spots de prédilection (sortie, shopping, resto) dans
la région?
Il faut bien avouer que c'est un peu la
misère au niveau spots de qualité pour sortir et faire la fête dans le coin. Rares sont les bars qui
proposent une programmation musicale digne de ce nom et au niveau des clubs,
n'en parlons pas c'est le désert total.
Niveau shopping ce n'est pas mieux, il n'y a
pas grand chose à se mettre sous la dent. Nous profitons souvent de nos
déplacements pour faire notre shopping et comme pour tout le monde, internet
est devenu notre spot de shopping de prédilection.
En ce qui concerne les restos par contre ce
n'est pas ce qui manque dans le coin, nous sommes dans une région où la
gastronomie est reine. Nous aimons diversifier les endroits où nous allons
suivant nos envies, notre humeur...
Quels sont vos projets pour l'été
et le reste de l'année?
Cet été notre envie première était de
profiter de la venue massive de touristes et de l'ouverture de beaucoup
d'endroits ne fonctionnant que pendant la saison estivale pour exporter la DSF
hors du B.A.B. afin de faire connaitre le collectif.
Quelques endroits se sont rapprochés de nous
afin d'organiser des DSF party comme l'Escargot à Seignosse, le Booboo'zzz à Biscarosse
et d'autres qui sont encore en discussion.
En marge des soirées communes, les djs du
collectif se produiront individuellement lors de nombreux événements estivaux.
Pour la rentrée de nombreuses choses sont en
préparation avec notamment une grosse soirée en collaboration avec l'Atabal
mais rien n'étant encore complètement bouclé, vous en serez informés en temps
voulu.
Allez faire un tour sur la page Facebook ou
sur le site de la DSF afin d'être tenu au courant des dates des différents
évènements ou vous pourrez retrouver les membres de la famille.
En pour finir, deux mots en B?
Booty & Bass
Plus d'infos
www.facebook.com/dirtysouthfamily
Inscription à :
Articles (Atom)